Peut-être que ce sont elles qui font vivre le désert . Sans elles, le vent aurait tout balayé, aurait enseveli les puits et brûlé les plantations , aurait recouvert les traces et effrayé les bêtes. Sans elles , les hommes auraient été effaçés par le sable, et la vallée ne serait plus qu'un chaudron sous le ciel dur.
Le Clézio
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1 commentaire:
vérité que la femme est pour l'homme... il est pourtant difficile pour un "mâle" de reconnaître l'appui quotidien, la faculté d'écoute, la tendresse de celle sans qui il n'est rien ou presque ! Alors peut être qu'il est bon ici et maintenant, je vais faire cet hommage à toutes celles qui depuis ma naissance ont été à un moment ou un autre l'accueil de ma vie !
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